Le mystère de la chambre jaune
Rouletabille, un jeune reporter, va tenter d’élucider le mystère.
La chambre jaune où s’est produit le crime était fermée à clé de l’intérieur : mais comment l’assassin s’est-il enfuit ? Au fil de l’enquête, Rouletabille découvre que le meurtre n’était pas le seul motif de l’assassin : les travaux scientifiques de M.Stangerson ont disparus. La police qui mène aussi l’enquête, a fait appel à un célébre inspecteur Frédérique Larsan qui lui soupçonne R. Darzac.
Cepandant, Rouletabille remarque que le comportement du célèbre policier est étrange. Il utilise depuis quelques jour une canne qui lui aurait était offerte à Londres. En examinant la canne, le reporter remarque qu’elle provient de Paris. Mais ce serait un homme ressemblant à R.Darzac qui serait venu acheter la canne en question…
D’autres indices semblent mener sur la piste de R.Darzac, mais lorsque l’on tente à nouveau d’assassiner Melle Stangerson, le garde appelé « l’homme vert » est tué par le père Jacques. Mais on découvre que l’homme était déjà blessé avant qu’on lui tire dessus. On pense que c’est lui le meurtrier, mais Rouletabille prouve qu’il ne l’est pas. Le mystère reste complet. R. Darzac est tout de même arrêté, mais le reporter promet de prouver son innocence ce qui déplaît à R.Darzac, qui semble ne pas vouloir que l’on découvre la vérité.
Lorsque Rouletabille paraît au procès, il affirme connaître le nom de l’assassin mais ne veut pas le dévoiler avant une certaine heure.
Alors, il commence à expliquer son enquêtes et ses découvertes, et, à six heures et demi, il dénonce F. Larsan comme l’assassin. Lorsqu’on appelle celui-ci