Le nomadisme, dans le survenant, créé le bonheur puisque que le nomade est maître de lui-même.
|Argument principal 1 |
| Le nomadisme, dans Le Survenant, créé le bonheur puisque que le nomade est maître de lui-même. |
|Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 |Sous-argument 1.3 |
| Le nomade ne doit rien à personne. | Le nomadisme, dans Le Survenant, enlève| Le nomadisme, dans Le Survenant, permet au |
| |toute responsabilité au personnage. |personnage d’être sélectif. |
|Illustration 1.1 |Illustration 1.2 |Illustration 1.3 |
| « -Tente-moi pas, Angélina. C’est | «-Je veux pas rien dire de trop, | « De mon bord, si j’aime pas l’ordinaire, |
|mieux. |monsieur Beauchemin, mais j’ai vu votre |pas même le temps de changer de hardes et je |
|À grandes foulées, il se perdit dans la |Survenant ben en fête à Sorel. Il tenait pas|pars. » P.43 |
|nuit noire. » P. 196 |sur ses jambes. » P. 125 | |
|Explication 1.1 |Explication 1.2 |Explication 1.3 |
| Le Survenant, bien qu’il ait passé du | Le Survenant était parti avec l’argent | Le Survenant, s’il n’aime pas la place, part|
|bon temps avec Angélina, refuse son offre |pour aller à Montréal. Son absence de |en espérant trouver mieux ailleurs. Il ne |
|et part sans aucun remord. Il quitte |responsabilité l’emmena à dépenser cette |s’attardera pas à une