Le panasse
Émaux et Camées de Théophile Gautier; Les Stalactites, Odes funambulesques de Théodore de Banville; Médailles antiques de Leconte de Lisle; Trophées de José Maria de Heredia
Théophile Gautier
Théophile Gautier, « L’Art » (1857) (Emaux et Camées, 1872)
Q1 : Eléments prouvant que ce poème répond à celui de Banville.
Le poème de Théophile Gautier répond à celui de Théodore de Banville. En effet, on peut relever des éléments justifiant cette réponse. En première vue, on s’aperçoit que « L’art » est composé de 14 quatrains avec une alternance de 4 vers formés en hexasyllabe et en duosyllabe : hexasyllabe*2/duosyllabe/hexasyllabe. Il présente aussi des rimes croisées. De plus, on remarque à chaque fin de vers une alternance des rimes féminines/masculines : F/M/F/M jusqu’à la fin du poème. En conclusion, la forme du poème « L’art », créée de façon identique à celui de Banville, le définit bien comme une réponse.
Q2 : Expliquer le titre du recueil.
Le titre du recueil : Emaux et Camées Emaux : four, technique, inaltérabilité, valorisation de l’aspect, protection.