Le personnage de frenhofer
1°) Dès le début du passage sur lequel nous étudions les différentes questions, le personnage de Frenhofer commence par donner son avis sur la peinture. Tout démarre lorsque le vieillard découvre une représentation de Marie l’Egyptienne peinte par Porbus, qui lui-même va demander l’avis du « vieil homme » (page11 - ligne110 : « vous la trouvé bien ? »). C’est là que le vieillard entre dans une argumentation de l’œuvre de Porbus.
Tout d’abord, l’homme introduit par la « non vie » de l’œuvre (page11 – ligne113 : « mais elle ne vit pas. »). Il parle ensuite de « loi anatomique » (l.115) pour les peintres.
Frenhofer poursuit avec le volume. De la ligne 123 à la ligne 131, il prouve à Porbus que son œuvre manque « d’espace et de profondeur » (l.129). Il parle ainsi d’aire entre les membres de la femme peinte (l.128), de la position de la femme dans le tableau, qui y parait collée et qu’elle ne puisse pas changer de position (l.125 à 128).
Puis l’homme reparle encore de la « non vie ». Il dit « je ne saurais croire que se beau corps soit animé par le tiède souffle de la vie » ligne 132 à 133, page 12. Il semble aussi qu’il trouve la femme peinte, froide, sans vie, du moins sans la vie qu’il devrait y avoir dans un tableau (l.134). En outre, le vieillard ajoute : « la vie et la mort luttent dans chaque morceau » (l.139).
Pour finir, Frenhofer, emploie la technique dans son argumentation, il met l’accent sur le fait que Porbus ait voulu imiter d’autres artistes (l.152-153), il parle aussi de la qualité du dessin, des milieux de la femme justement peints et des contours plus ou moins faux (l.160 à 166).
C’est ainsi que s’achève l’argumentation du vieillard à la ligne 172. Mais celle-ci est découpée en trois parties, assez distinctes. Une qui parle de la « non vie », l’autre du « volume » et enfin une autre de la « technique ». De la ligne 112, à la ligne 144, le vieillard intervient seul dans ce passage. Il y parle de la vie du tableau, et du volume.