Des chercheurs de l’Université de Rotterdam ont créé un classement mondial du bonheur pour les années entre 1995 et 2005 qui est évalué avec près de mille facteurs. Par contre, ils existent plusieurs visions du bonheur qui peuvent différer selon les époques. En effet, trois anciennes conceptions de celui-ci ont été retenues, soient : la platonicienne, l’aristotélicienne et l’épicurienne, mais laquelle est la plus compatible avec la vision moderne? La conception Épicurienne, qui est l’absence de troubles dans l’âme et de douleurs dans le corps parle de supporter la douleur, de limiter les désirs, mais d’autres affirment que les désirs vains peuvent faire partie du bonheur, ce qui sera réfuté.
Premièrement, selon Épicure, en pensant à la mort, une personne peut s’empêcher des plaisirs actuelles, en fixant ses pensées sur une peur. Cette peur crée de l’anxiété, ce qui empêche certaines personnes de vivre des moments mémorables remplis de bonheur. Par exemple, certains enfants sont plus heureux que les adultes parce qu’ils ne pensent pas au décès qui peut les toucher. Ils pensent au présent et à leur plaisir, donc la pensée de la mort rend certaines personnes malheureuses. Les mères trop préoccupées par la mort de leurs enfants peuvent surprotéger ceux-ci en les privant des joies de l’enfance, comme faire de la bicyclette. D’autres personnes, évitent les endroits ou les activités qui procurent certains plaisirs de peur de mourir tôt. Penser à la mort ne fait pas juste empêcher la personne des bonheurs de la vie, mais aussi les gens qui l’entourent.
Deuxièmement, la conception d’Épicure du bonheur veut que le plaisir soit simplement l’absence de troubles dans l’âme, il faut donc limiter les désirs et satisfaire ceux liés au plaisir. Plusieurs n’ont nuls besoins des désirs vains pour être heureux. Les gens vivants dans la simplicité volontaire n’ont que les éléments essentiels à leur survie soient l’eau, la nourriture, etc. Ils peuvent être plus heureux que les gens