Elle a été invitée par ses amis à une balade
Quelque part au milieu du montagnes les plus grands
Initiallement elle a refusè
Parce qu’elle se sentait un peu fatiguée.
Elle n’y a pas voulu se sentir mal
Mais ses pensées n’étaient pas normales.
Les doutes, les craintes et les cauchemares
Lui annonçaient une vie bizarre.
Elle se sentait de plus en plus seule
De plus en plus triste, de plus en plus molle.
Mais, elle a pensè qu’il est bien de prendre énergie
Un peu de verdure de forets, un peu de vie.
Elle s’habilla en blanc avec une robe plus longue
Et arrangea calmement sur le front
Le batik roulé comme une liane de soi fine,
Comme les pensées pures d’une vierge divine.
Le cheveaux noir tomba rebel à la renverse de soi
Comme des ruisseaus fraies en coulant doucement.
Elle n’a pas voulu rester avec tout le monde
Et chercha plus loin un lieu comode ;
Et ça pour eviter le fatiguant tumulte
Et qu’elle puisse rester avec sa solitude.
Donc, elle trouva un coin de fleures et d’herbe verte
Et se laissa couchée avec les yeux ouvertes.
En pensant profondement,
Avec chaque clignement
Les yeux se fermaient près de terre
En abandonnant la lumière.

Le vent qui soufflait légèrement
Lui fredonnait un song charmant ;
Tous les arbres commençaient à chanter
Et toute la nature semblait un mystère.
La nuit paraissait un ambiance de conte
Où la claire de lune régnait sur tout le monde.
La jeune fille endormie soudain se reveillait
Et fit quelques pases dans l’herbe si veloutée ;
Puis, heureuse, elle tenda les brases
Et se laissa perdue portée par le vent. - « Tamanna !»
La jeune fille s’arreta soudain
En entendant ce nom en appelant de loin. - « Viens ici, Tamanna ! »
Alors, elle pressa les pases à droit
En essayant de trouver cette voix.
Elle entrait dans la foret obscure
Veillée par la lumiéere fine de la lune. - « De quel part s’entende la voix ? Qui est Tamanna ? »
Pensait-elle effrayé
Avec les yeux fermés.