Le rire est un élément indissociable du mon moderne. Quatre documents sont proposés pour réfléchir sur le sujet, tout d’abord, nous avons un dessin de Plantu paru dans le monde le 14 février 2004, où nous pouvons voir deux personnages heureux avec un arrière plan désastreux de la planète, Alphonse Allais, dans l’extrait des Templiers nous propose lui le contenu d’une farce. Pour Charles Baudelaire, dans l’extrait de l’essence du rire, il s’agit plutôt de définir le rire et sa manière dont il est utilisé, l’histoire du rire et de la dérision de Georges Minois rejoint plus ou moins ce contexte en se penchant plus sur le rire indispensable aux Hommes. En étudiant ces quatre documents nous verrons quelles sont les caractéristiques du monde modernes et essayeront d’y apporter une réponse. Trois points sortes ressortes plus que les autres, c’est sur ceux la que nous nous intéresseront le plus, le rire est une expression de supériorité de l’Homme, il est une conscience de l’absurde et sert de réaction de défense.
Le rire est propre à l’Homme, Dans l’essence du rire, Charles Baudelaire nous en fait part, le rire nait avant tout dans un élan de supérioté. Il nous le démontre d’ailleurs à travers un exemple, jamais un chat se moquera d’un coquelicot et cela car les espèces animales et végétales ne se sente pas supérieur. Le dessin de Plantu paru dans Le Monde, le 14 février 2004 nous donne ce sentiment de supérioté de l’Homme face aux autres espèces du monde, nous voyons ces 2 personnages souriant, sortant peut être d’un éclat de rire alors que la planète dégradé, va très mal derrière eux. Alphonse Allais dans l’extrait des Templiers continue en ce sens avec le monsieur riche qui demande à deux pauvres maçon, en échange d’argent de construire le mur d’une pièce qui va servir à les enfermer. Ce monsieur riche utilise sa supériorité naturelle et financière pour faire sa farce qui n’a nul doute, fait rire que lui. Quel Homme serait d’ailleurs capable de rire de lui-même ? Un