Le risque de vivre est plus grand a notre époque qu'il ne l'a jamais été.
Monsieur Barjavel,
Je me nomme Antonin Meyer et si, aujourd’hui j’écris, c’est pour vous faire pars de mes observations. Dans l’essai Pensons à Icare! La faim du tigre, vous avez écrit « Le risque de vivre est plus grand en notre temps qu’il ne l’a jamais été mais quel temps extraordinaire ! ». Vous l’avez écrit il y a 45 ans. Je suis d’accord avec vous et il me semble même qu’a mon époque ceci est vrai aussi. Afin de vous prouver cela, je vais d’abord examiner avec vous les différents domaines qui présenterons des similitudes entre votre époque et la mienne, et ensuite vous parler de l’esprit de science-fiction omniprésente de notre époque.
Commençons par le domaine politique. A votre époque, on voyait déjà les prémisses de 1968. En effet le régime Gaulliste était du type autoritaire et la population commençait à en avoir assez : Charles de Gaulle instaure le Droit de vote aux femmes pour ensuite interdire à tous le peuple de voter et laisser ces choix au gouvernement. De mon temps le gouvernement a décidé de réformer les retraites, c’est-à-dire d’augmenter le temps de travail car la durée de vie augmente. Et cela crée aussi débat et problème.
Ensuite parlons du domaine économique et social. En 1966, vous avez vécu une hausse des prix. Vous avez du constater une augmentation de plus de 10%, d’où crise budgétaire, qui entraîna l’augmentation des licenciements et ainsi l’accroissement de chômeurs et de sans-abris. Henri Grouès dit l’abbé Pierre vit cela et décida de crée Emmaüs : bâtire des lieux où pourront dormire des sans-abris, collecter des vêtements pour les vêtires, et leurs données de la nourriture. Aujourd’hui encore nous avons connu une hausse des prix qui a entraîner la délocalisation des entreprises, d’où moins d’emploie qui a entraîné l’augmentation du chômage et des sans-abris. Actuellement des associations tel que les « restos du cœur » ou « la croix rouge » sont présent pour les aider.
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