LE RÔLE DU TRAVAIL DANS LA CROISSANCE DEPUIS LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE

Notes de 5 à 12, 6 notes au dessus de la moyenne.
7,3 de moyenne.

Propos :
Ne pas tomber dans le panneau du plan historique, et réciter son cours.
HS : on évoque des infos hors contexte.
La longueur de la copie ne doit pas être excessive.

Introduction :
Le débat et le vote de la loi sur le relèvement du temps de travail avec le report de l’âge légal de départ en retraite à 67 ans en France, la remise en cause des 35h, le développement de mécanismes d’incitation au travail dans de nombreux pays... Tout cela montre que, dans les économies développées contemporaines où règne la HT, le facteur L reste un élément clef de l’activité économique et donc de la croissance.

Ce rôle du travail est central pour les Classiques et les Marxistes qui en avaient fait la base de la valeur des biens.
Dans l’analyse néoclassique, le travail est un des facteurs de production et donc il contribue aussi à la création de richesses et à la croissance économique.
La place du travail est donc centrale dans le processus de croissance

Comment ce rôle s’exerce t’il ? Est-il le même à toutes les époques ?
Il apparaît en fait que le facteur travail devient de plus en plus le résultat d’une élaboration, de la formation, et de ce fait, son aspect qualitatif s’avère déterminant.
Par ailleurs, il apparaît aussi que pour pouvoir être à l’origine d’une croissance, autrement dit d’une expansion soutenue et durable, il apparaît aussi qu’il a besoin d’autres FDP

I) L’augmentation quantitative du L est un élément important de la C mais une telle approche comporte des limites 1- quantitative du travail = élément important de la C - Théorie :
* Valeur travail chez les Classiques, et Néoclassiques, notamment chez Solow (le modèle de Solow montre qu’en l’absence de PT, le tx de C tend à être égal à la population active et que le PT permet d’augmenter la popu active)
* de la popu active résulte