le rouge et le noir
- Le « sort à venir » contraste avec « le souvenir encore présent des 24h qu’il venait de passer à Verrières ». On remarque ici que tous les temps sont réunis : passé, présent, futur. - Il repense à ce qu’il s’est passé chez Mme de Rénal. Se perd en hypothèse (« que serait-il » « si ») sur ce qu’il aurait pu se passer. Il se rend compte qu’il aurait pu être découvert, qu’il était en danger => se voit comme un brave.
On remarque que la scène se répète lorsqu’il décide de rendre une visite nocturne à Mathilde, là aussi les domestiques ou la mère du Mathilde (à la place de mari) auraient pu le surprendre. - « Mais » il ne regrette rien. On nous rappelle les moments d’intimités qu’ils ont eu avec les mots « délices » et « assis auprès ». encore une fois il aime le danger, il a aimé quand Mme de Rénal voulait le renvoyer, le reste « se confondait déjà avec les premières époques de leur amour ». On voit qu’il aime se lancer des défis c’est une de ces caractéristiques.
⎝ On a ici un court résumé, en deux ou trois paragraphes, de ce qui l’a marqué lors de son séjour à Verrières. On remarque déjà que le personnage est plutôt du genre téméraire, cependant il calcul tout avec une grande froideur. - Durant la description des actions de Julien à son arrivé (il visite Paris « la Malmaison… ») Stendhal glisse un mini-dialogue entre lui et un lecteur imaginaire : on le voit avec le « je me garderais » auquel répond « Quoi ? » et le « - Oui monsieur » (tiret).
⎝ durant tout le livre Stendhal s’autorise à faire des commentaire pour parler du livre lui-même, ajouter un peu de comique, ou tout simplement délivrer des informations complémentaires sur la société et ses mœurs, ou le futur des personnages.