le rêve
Au XIXème siècle Rousseau réhabilite le rêve. Il devient une possibilité pour l’homme d ‘échapper à la réalité qui l’entour, de dépasser les apparence trompeuses pour vivre autrement. Les romantiques, les symbolistes, les surréalistes, affirme la puissance créatrice du rêve voir son extra lucidité.
Au XXème siècle, des auteurs philosophe comme Sartres, gaston bachelard démontre la nécéssité de rêver pour accéder a la connaissance. Freud et l’approche psychanalytique voit dans le rêve l’accomplissement d’un désir inconscient et le symptôme d’une névrose.
Question : faut-il se méfier ou s’abandonner au rêve ?
quel part de rêve entretenir dans sa vie ?
Rêver au rêvasser est souvent déprécier parce que ce n’est pas une activité tangible. On l’associe à une stérilité de la conscience, un état qui coupe du monde, de son quotidien et qui l’empêche de comprendre la réalité. Le rêve est source d’également, il prive l’individu de sa raison et le pousse à préférer le songe à la réalité (cf. inception ) Quand le rêve détourne de ses activité, rêver est alors considérer comme une perte de temps.
Il dresse un éloge au rêve comme temps perdu et à la paraisse souvent considérer comme une pêcher. Il désacralise