SOMMAIRE

SOMMAIRE 2
INTRODUCTION 3
ETAT DES LIEUX 7
A/ REMARQUES GENERALES 7
B/ INFORMATIONS GENERALES 8
C/ FORMATION 13
D/ GESTION ET QUALITE DU SERVICE AVS 15
PROTOCOLE 20
CONCLUSION 24
BIBLIOGRAPHIE 25

INTRODUCTION

Nous avons traité dans la première partie la scolarisation et l’intégration des enfants handicapés, notamment porteurs de handicaps mentaux. La situation des personnes déficientes n’a cessé de se perfectionner avec une prise de conscience et une volonté d’améliorer leur quotidien, par la remise à niveau des structures les accueillant, une simplification des démarches administratives, des aides…
En effet, actuellement, la possibilité pour les jeunes handicapés de poursuivre leur scolarité en milieu ordinaire n’est plus remise en cause. La notion d’intégration renvoie à des valeurs sociales largement partagées et ne concerne pas les seules personnes handicapées. Il s’agit d’une reconnaissance du droit à tout individu de participer à la vie sociale, d’en être acteur à part entière.
L’intégration scolaire d’enfant handicapé correspond à une évolution des missions de l’école depuis une trentaine d’années. Elle s’est tout d’abord concrétisée partiellement dans des structures d’éducations spécialisées, en marge du système éducatif ordinaire.
Puis, la loi d’orientation du 30 juin1975 en faveur des personnes handicapées a instauré une obligation d’éducation.
La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, quant à elle, vise à faciliter l’intégration des personnes handicapées, en particulier dans le domaine de l’éducation.
Un aménagement est proposé aux élèves à partir d’un projet individualisé de formation qui définit le rythme de la participation de l’élève selon ses besoins et ses possibilités, et les modes de collaboration entre l’Education Nationale et le secteur médico-social ou sanitaire.
La réussite de son intégration dépend donc de la qualité de la