Le Soleil de ma vie

À vous chers lecteurs et lectrices,

Je vous demande de vivre ainsi ce récit en toute confiance dans l’action de la lumière, au-delà des religions et des traditions, dans la Vérité éternelle de l’Amour. Avez-vous le désir de promettre à votre âme de toujours l’écouter et de suivre le chemin qui mène à la Vie. S’il faut donner un commencement à ce récit, il peut être saisi à un moment précis de ma vie d’adulte : devant de magnifiques élèves. J’ai perçu dans mon âme la souffrance humaine qui est aussi celle de la Terre. J’ai compris qu’en tant qu’être humain incarné sur le corps de la terre, je ne pouvais participer à sa guérison qu’en me guérissant moi-même, c’est-à dire en mettant tout en œuvre pour devenir un canal de lumière pour les autres et pour la Terre. Car c’est la maladie de l’homme qui entraîne celle de la terre. Le cri de la planète, et donc de l’humanité souffrante, était devenu le mien. Je fis intérieurement la promesse de répondre à l’appel. En cet instant magique dont je ne pouvais prévoir les conséquences, une motivation profonde s’était ancrée dans mon cœur, car l’écho de ce cri ne devait jamais me quitter. Même si ma conscience limitée l’oubliait parfois, un amour infini pour l’âme de la Terre s’était éveillé en mon âme, et savait trouver son chemin pour revenir à ma conscience.

Plus tard, je fis un rêve qui n’en était pas un, d’une telle intensité qu’il vit toujours en moi dans l’éternel présent : Une lionne magnifique et majestueuse, se tient au sommet d’une colline, sous un arbre. Elle rayonne une lumière d’or qui la rend semblable au soleil. M’approchant d’elle, je reçois son regard qui m’apparaît comme l’aube après une nuit trop longue. L’intensité de cet Amour me bouleverse. Je reconnais en elle le guide, le soleil bien-aimé que mon âme attendait. « Souviens-toi, me disent les yeux d’or au-delà des mots, souviens-toi de la Source de Vie, qui seule peut combler tous les manques, étancher