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Après des évènements dans le monde du sport comme le dopage avec Armstrong, les matchs truqués et la violence accrue on est en droit de ce demander d’où peuvent venir ces manifestations alors que le sport a pour but d’inciter a un esprit de cohésion, d’entraide et qu’a l’origine le sport est un jeu et non une compétition.
Peut-on dire que les vices du sport d’aujourd’hui soient dus à notre société ?
Michel Bernard dans son article «Sport » paru dans Encyclopaedia Universalis démontre son point de vue sur le sport en le comparant au système de production capitaliste et en s’appuyant sur les valeurs de Pierre de Coubertin. Raphaël Dumont dans Etudes contemporaines paru en 2012 s’explique sur le fait que pour lui le sport n’est mondialisé comme la coupe du monde de football ou les jeux olympiques que pour joué le rôle de marionnettiste sur la population qui en est plus ou moins conscient qu’elle est bercé par la désillusion au profit des puissants. Dans un entretien pour le nouvel observateur en 2012, Alain Ehrenberg, sociologue français, montre pourquoi la population se montre aussi réfractaire au dopage face au sport qui leur parait pur. Le quatrième document est un Banksy sur un mur de Berlin en 2012 juste avant les jeux de Londres.
Nous verrons tout d’abord qu’elles sont les origines de ces vices dans le sport puis pourquoi sont-ils devenus un phénomène aussi présent et enfin qu’elle est le lien avec notre société actuelle.

Le sport est pratiqué depuis l’antiquité mais avais pour seul but : le jeu comme l’explique Michel Bernard mais il fut remplacé par un sport de compétition avec un impératif de rendement maximal qui s’explique toujours d’après Michel Bernard, par le « processus du système de production capitaliste » importé par les Britannique peu avant la révolution industrielle. Pour celui-ci cette transformation du sport réduit l’homme à une machine. Pierre Coubertin dans l’article de Michel Bernard prône la participation est plus importante