Le sport et le dépassement de soi.
Nos sociétés modernes ne doutent plus sur les vertus du sport. Selon pierre de Coubertin, dans pédagogie sportive, 1972, le sport offre des occasions concrètes de défendre des valeurs sociales et morales, puisqu'il apprend a agir de façon volontaire et désintéressé, en évitant toute formes de sanction. Ainsi dans une équipe de football, le sportif développe sa capacité a coopérer avec ses coéquipier en vue de la victoire. Cet enseignement par le sport se retrouve dans la politique par le sport de François Bégaudeau, qui analyse l'importance des sports traditionnels dans un pays conservateur comme l'inde. le sport conforte ici les valeurs hindouistes, la réalisation personnelle, pacifique dépouillé de toute forme de désir et étrangères a l'idée de concurrence. Cet accomplissement moral apparaît dans le témoignage d'Haruki Murakami dans autoportrait de l'auteur en coureur de fond, où le narrateur met son point d'honneur a aller jusqu'au bout. Il vivrait l'abandon de la course comme un échec personne cuisant. Cette nécessité de persévérer dans l'effort autre valeur sportive ici réaffirmé a sans doute motivé l'athlète terrassé par la douleur sur la piste (photo)
De fait le sport incarne des idéaux et contribue ainsi a renforcer la cohésion culturelle et sociale d'un pays ou d'un continent. L'inde en est selon F Bégaudeau, un parfait exemple, puisqu’il résiste a la conception occidentale du sport dominée par la compétition et la recherche de la performance. L'inde