Depuis le début du XXème siècle, le sport est passé d’une pratique personnelle relevant du domaine des loisirs à un phénomène social d’une ampleur considérable en raison de l’engouement ou de la manifestation de passions individuelles et collectif qui est nécessaire pour les passionner.
Mais on peut remarquer que certain individus peuvent s’en passer.
Le sport désigne une activité physique exercée dans le sens des jeux mais de lutte et de l’effort et dont la pratique suppose un entraînement, le respect d’une certaine règlementation, de code et de valeur.
Nécessaire c’est dont on ne peut pas s’en passer, ce qui est indispensable à l’existence humaine ce qui ramènent à la vie des individus.
Le sport vous semble-t-il nécessaire à l’existence humaine ?
Pour répondre à cette question, nous aborderons dans un premier temps que le sport est indispensable à nos vies et dans un deuxième temps qu’on l’on peut s’en passer.

Dans un entretien avec Martine Fournier, dans la revue sciences humaine, la sociologue Georges Viganello aborde différents aspects du sport, son histoire, ses valeurs et son instrumentalisation.
C’est-à-dire que le sport apporte d’une part une forme d’ethnique, avec le respect de l’autre et le respect de la règle impose et d’autre part la vie en société, imposée par la pratique sportive qui aide à mieux connaître les autres et à accepter leur différence.
Selon Pascal Duret, dans la « sociologie du sport » paru 2008, les fonctionnalismes positif du sport c’est-à-dire que la pratique et l’hygiène de vie imposée par le sport a un effet bénéfique, protecteur sur la santé et les maladies chroniques.
Ce qui entretient une version angélique de l’univers sportif.
En effet, c’est dans le but qu’on a conçu et rédigé la charte de l’olympisme en 1894, au moment de la restauration des jeux olympique par Pierre de Coubertin, qui définit ce que doit être l’esprit des jeux en tant que philosophe de la vie ; car la charte de l’olympique le sport sert à