Le club très fermé des sportifs de haut niveau ne compte que 3000 membres. Des athlètes soumis depuis leur tendre enfance à un entraînement intensif et une discipline de fer. N’est pas Zidane qui veut…

Les sportifs amateurs faisant partie de l’élite, peuvent recevoir des aides, des bourses, et sont rétribués par le sponsoring. Leurs ressources peuvent provenir de l’Etat, des clubs, des conseils généraux, des municipalités qui consentent par exemple, à participer au financement de leur préparation olympique. Autre situation courante : l’athlète de haut niveau bénéficie d’un emploi dans l’administration ou de grandes entreprises publiques, où il bénéficie d’un horaire allégé.
Dans d’autres cas, les sportifs amateurs de haut niveau, touchent la manne publicitaire ou sont payés par les organisateurs des manifestations auxquelles ils participent.

Une vie monastique
Les professionnels quant à eux, tels les joueurs de football, sont salariés des clubs dont ils font partie. Ils touchent, en outre, des primes de matchs et bénéficient d’avantages en nature.
La vie d’un sportif de haut niveau s’apparente bien souvent à celle d’un moine, faite d’entraînements intensifs, de régimes alimentaires et d’autodiscipline constante. Il doit faire attention aux blessures qui pourraient compromettre sa carrière et doit assumer une vie de famille amputée par tous les déplacements et les compétitions de fin de semaine…

Compétences nécessaires Volonté, ténacité dans l’effort Souplesse et adaptation Très bon équilibre physique et psychologique

Découvrez les metiers du milieu du sport

Cursus / formations
Mener de front études et entraînement sportif peut être une sage résolution. Au niveau supérieur, il est possible d’intégrer l’Insep (institut national du sport et de l’éducation sportive), ou encore de décrocher un BTS ou une maîtrise STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), voire de passer le brevet d’éducateur sportif.

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