Le survenant et le nomadisme
Argument principal : Le bonheur du Survenant réside dans le nomadisme parce qu’il lui permet d’être le maître de sa vie.
1. Sous-argument: Le bonheur du Survenant réside dans le nomadisme par qu’il lui permet de vivre là où il veut. 2 Sous-argument: Le bonheur du Survenant réside dans le nomadisme par sa recherche intense de nouvelles expériences.
3. Sous-argument: Le bonheur du Survenant réside dans le nomadisme car cette condition lui assure n’avoir aucun sorte d’attachement.
Argument principal 2: Pour les habitants du Chenal de Moine le bonheur réside dans le nomadisme, car ils peuvent voir à travers Survenant les bienfaits d’être nomade.
1.Sous-argument: Didace s’identifie au Survenant et le voudrait comme fils et celui-ci lui rappelle ses ancêtres nomades.
2 Sous-argument: Survenant projette en Angelina l’amour qu’il retrouve dans le nomadisme.
3 Sous-argument: Les habitants du Chenal de Moine sont fascinés par toutes les histoires du vaste monde.
Dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme parce que Survenant peut être le maître de sa vie. Le nomadisme lui donne la liberté de s’arrêter à vivre là où ça lui tente et le temps qu’il veut. Effectivement, il est libre de choisir où et dans quelle famille il restera temporairement pour la saison. Les habitants du Chenal du Moine l’appellent le Grand-dieu-des-routes car, il n’a pas de lieu fixe pour y demeurer, il est travailleur et sait bien se débrouiller dans la nature, mais l’appel de la route pour la ville est toujours plus fort chez lui; ce qui l’empêche de rester longtemps dans une même place et il n’a pas peur de repartir si c‘est nécessaire: «Partout où c’est que je passe, j’ai coutume de gagner mon sel, [...]. Si vous avez pas satisfaction, dites-le: la route est proche.» (p. 43). Le nomadisme répond aussi à son bonheur par son désir continuelle de vivre de nouvelles expériences de vie. Malgré son