Le survenant
IP1 : C’est dans le nomadisme que le Survenant trouve sa pleine liberté.
1S1 : Le Nomadisme, permet au Survenant d’agir selon ses instincts. « Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paquetons au dos, qui demandait à manger. » (p.19 l .1-5)
- Le Survenant n’a aucune obligation. Si il désire s’arrêter à un endroit ou à un autre, cela n’a aucune importance car il n’a pas de but précis et ne récent pas le besoin d’élaborer un plan.
1S2 : Le Survenant, en raison de son mode de vie a le cœur léger et est maître de son destin.
« Mais quand je serai arrivé sur la fin de mon règne, vous me trouverez pas au fond des fossets, dans le vaste. Cherchez plutôt en travers de la route, au grand soleil : je serais là, les yeux au ciel, fier comme un roi de repartir voir un dernier pays. » (p.188 l.29-33)
- Avec l’emploi du mot ‘’comme’’, l’auteur utilise une comparaison avec un roi pour mettre l’emphase non seulement sur le fait que le mode de vie du Survenant est honorable et prestigieux mais également qu’il est le seul a pouvoir se crée des restrictions et n’a pas l’intension restreindre sa façon de vivre. Le Nomadisme lui permet de profiter de son entière liberté.
1S3 : Le Survenant est libre de faire ce que bon lui semble, quand il le veut.
« Vous autres, vous savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur allègre, tout son avoir sur le dos. » (p.186 l. 18-21)
- Le nomadisme permet au Survenant d’être constamment à la recherche de paysage et de se diriger où bon lui semble. Lorsque le Survenant est sur la route : le stress, le cœur lourd et le sentiment de ne pas suivre sa légende personnelle ne sont pas des choses de son quotidien. L’auteur