Introduction
L’historique des cellules excitables :
La bioélectricité est apparue sous l’antiquité car déjà on connaissait des organismes vivants qui pouvaient décharger de l’électricité et ces décharges étaient produites par un organe qui est l’organe électrique et en fait les cellules qui composent cet organe sont les électrocytes qui dérivent des myocytes.
Les médecins ont utilisé la bioélectricité pour les migraines et la goutte. C’était le début de l’électrothérapie.
18ème siècle : les travaux de Galbani et de Volta vont remettre la bioélectricité sur le domaine de la recherche physiologique. Etude du nerf sciatique de grenouille. Les chercheurs du 18ème se sont intéressés aux organismes vivants : la torpille qui produit des chocs électriques qui vont de 60 à 130 Volt. Comme les cellules qui composent l’organe qui produit l’électricité, dérivaient de cellules musculaires, les myocytes, ils les appellent donc les électrocytes.
Fin du 19ème siècle : nouvelle notion, le système nerveux va être analysé et Waldeyer va proposer que ce système nerveux est composé d’une unité fonctionnelle : le neurone.
Camillo Golgi et Ramon y Cajal : Golgi avait mis en place un mode de coloration qui permet de voir les neurones mais il ne distingue pas les différentes unités ; théorie réticulaire du système nerveux : Le corps cellulaire des neurones est uniquement la pour apporter la nutrition et les besoins. Cajal a établi une nouvelle théorie ; la théorie du neurone : les neurones sont mis bout à bout et ne sont pas continus mais interrompu.
Vers les années 50, une équipe de neurophysiologistes qui s’intéressent aux fonctionnements des neurones. Hodgkin et Huxley : nouvelle théorie ; théorie ionique de l’excitation : ils imaginent que au niveau de la membrane du neurone il y a des échanges ioniques grâce à des canaux ioniques qui vont produire des potentiels d’action. Les ions impliqués dans cette théorie sont le potassium (K+) et le sodium (Na+).
On cherche