I - Synthèse de documents

L’homme n’a jamais cessé de vouloir un temps libre plus important, aujourd’hui, le temps de travail ne représente plus que 14% du temps éveillé et l’homme doit se trouver des occupations, il a sa disposition les loisirs mais aussi la participation aux associations. Un essai Vers une révolution du travail de Bernard Cassen extrait de Le Monde diplomatique de mars 1993 présente les obstacles au partage du travail mais a contrario, dans l’essai de Dan Bechmann et Richard Berteil Bénévolat et nouvelles solidarités extrait de Sciences Humaines nous présente les catégories bénéficiaires des aides des associations, avec les missions de celles-ci on voit un véritable partage. Dans l’entretien avec Roger Sue Vers le temps libéré… extrait de Sciences Humaines, on nous expose les chiffres, les indicateurs du temps libéré et sa place dans le cœur des Français, l’automatisation de certains métiers a réduit le temps de travail, seuls quelques personnes se sentent encore investit dans leur travail, il n’a plus le même but que dans le passé. C’est pourquoi, dans l’entretient avec Jean-Louis Laville, Vers une économie solidaire extrait de Sciences Humaines l’auteur nous propose un changement des métiers, un nouveau mode de vie, une nouvelle économie plus solidaire. Peut-on dire qu’il y a un changement social ? Après avoir illustré le recul du travail, déterminé la crise et vu les opportunités nous pourrons développer sur la société du temps libéré.

Tout d’abord, nous pouvons observer une baisse générale du temps de travail, depuis des années, il ne fait que reculer et ne reste qu’une infime partie de la vie d’un homme. Les entreprises partagent le temps de travail, elles fournissent que de moins en moins d’emplois depuis la révolution industrielle. Pour toutes les catégories, qu’ils soient actifs, étudiant, retraité, chômeur ou ménagère le travail, l’activité domestique ou la recherche d’emploi vient que très loin après le sommeil et les loisirs.