Le terrorisme
Il est très important de comprendre qu’une définition exacte du terme terrorisme est à peu près impossible. Pour arriver à une définition on doit tenir compte des moyens utilisés pour commettre ces actes, mais aussi ne pas exclure les circonstances ou événements qui ont poussé le terroriste a commettre ces actes. À ce jour la définition la plus exacte du terme est celle adopté par l’ONU en 1999 qui dit qu’un acte terroriste cherche à : « tuer ou blesser gravement un civil, ou tout autre personne qui ne participe pas aux hostilités ». Par contre, les États-Unis on une tout autre définition du terme. Pour eux, les actions perpétrées par des gens engagés par l’état (par exemple l’armée) ne peuvent pas être considéré comme terroristes. Il est aussi crucial de comprendre que le terme « terrorisme » est attribué aux actes qui vise des civils ou des « non combattants ».
Le jugement éthique : non, sans exception
La plupart du temps, les individus qui commettent des actes considérés comme terroristes sentent l’obligation de justifier leurs actions. Ils utilisent souvent des prétextes tels que : « la justesse de la cause ou la volonté de Dieu » par exemple. Que nous condamnions ces justifications morales est déjà un pas dans la voie de l’opposition voir de la condamnation du terrorisme. Il faut interdire ces actions autant de façon législative que de façon morale. Pour fonder une quelconque condamnation de ces actes il ne faut pas se fier sur le nombre de victimes qu’ils causent. Aussi il ne faut pas juger de la sévérité du terrorisme par rapport à la légitimité de la cause. Aucune cause ne peut être assez juste pour tuer des centaines et des milliers d’innocents. En outre la violence, même la guerre est dotée d’une réglementation et d’une certaine censure. Une de ces premières règles concerne les civils ou les « non combattants ». Cette règle stipule qu’on doit « respect à la vie humaine » donc, qu’on ne doit pas tuer sans