Le terrorisme
Terrorisme : C’est l’usage de la violence et des fins politiques visant à faire pression par la terreur.
Le terrorisme se définit donc avant tout par les moyens employés dans l’action politique. La question fondamentale de la légitimité du recours à la violence vient à se poser dans certaines circonstances.
Si le terrorisme se définit essentiellement par sa finalité, il peur aussi se caractériser par des modes opératoires qui lui sont propres.
Il s’agit avant tout de marquer les esprits d’amener un contexte d’angoisse, en aucun cas d’offrir un avantage stratégique lors d’opération militaires. La nature des actes terroristes sont divers (attentats, assassinats…) Arme fiable, lorsque les moyens sont limités , mais cela peut aussi être l’arme du fort qui veut faire plier son adversaire.
Dans une période plutôt moderne, on relève des formes de terrorisme révolutionnaires et romantique dans l’action des anarchistes en Europe à la fin du XIX eme siècle. Ces actes visent avant tout à viser et à affaiblir les symboles de pouvoir.
Sous le régime de la Terreur (1792-1793), le terme de terrorisme renvoie de manière récurrente à la politique menée par les gouvernements révolutionnaires en France, proférée avec violence.
En 1800 Napoléon Bonaparte échappe à un attentat perpétré acre de terrorisme moderne.
Le développement du terrorisme à l’échelle internationale a entrainé logiquement le développement de luttes antiterroristes de la part des Etats visés. Néanmoins, cette lutte est rendue difficilement efficace « contre ces mouvements en restant pleinement respectueux des règles du droit commun ».
Non le terrorisme n’est pas né le 11 septembre 2001 avec l’effondrement du World Tract Center.
Notre sujet se focalisera essentiellement sur le terrorisme politique au 20e siècle
Pblématique générale :
Quand l’action politique et militaire est inefficace, peut-on légitimement basculer dans des idéaux extrémistes,