Le texte de La Boétie
Le discours de la servitude volontaire
Ou le Contre ’un
Introduction :
Le texte de La Boétie est un réquisitoire contre l’absolutisme.
Pose question de la légitimité sur toute population
Pourquoi celle-ci se soumet-elle ?
Le texte devient alors une théorisation du contrat social
La Boétie, précurseur de l’anarchisme ?
« Tous les frères ne soient pas cousin »
La Boétie nous confie que malgré nos différences sociales, chrétiennement nous sommes tous frères.
? Lamennais l’a dit et prouvé, en termes si éloquents, si admirables, que jamais, non jamais, cette tant maudite machine qu’on appelle presse, ne pourra trop les reproduire ?
I. La tyrannie ou le pouvoir offert par le peuple
Ulysse dit aux grecs : « Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul. »
D’après la Boétie : Certes il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres en cela même du fait que d’avoir un seul maître est déjà une chose révoltante.
C’est un grand malheur d’être assujettit car l’on dépend du bon vouloir d’une personne. Maintenant multiplier le nombre de personne auxquelles vous êtes assujettis et votre malheur s’en retrouvera également multiplié.
Comment une population peut-elle accepté de se soumettre à un Tyran qui n’a que de puissance (légitimité) celle que lui donne le peuple ?
La Boétie nous parle de million de million d’hommes qui sont opprimés non pas par une force majeur mais par leur fascination et leur crainte pour le nom d’un seul homme.
Ils ne devraient pourtant pas le redouter car il est seul et ils sont une foule.
Ils ne devraient pourtant pas le chérir car il est inhumain et cruel. Ils ne s’étonnent ni se plaignent de leur malheur, ils y sont résigné.
L’amitié et les devoirs absorbent une grande partie de nos vies.
L’homme bon est un homme de vertu, capable d’estimer les belles actions, de se diminuer (en bien être) pour que ceux que l’on aime et qui le méritent, soient augmenté.
Si les habitant d’un pays trouvent une telle personne qui