S-A : La littérature beurre voit le jour au cours des années 80. Cette littérature est un moyen pour plusieurs personnes de s’affirmer dans une identité. Aujourd’hui, plusieurs personnes pensent que c’est un ancien terme or, plusieurs personnes sont encore prises entre deux cultures et se réfèrent encore à une identité dite beurre.

S-P : C’est cette situation que dénonce Mehdi Charef dans Le thé au harem d’archi ahmed. En effet, lui-même ayant vécu dans les bidonvilles parisiens nous donne la chance de lire un roman témoignage.

S-D : Or, dans cette analyse nous allons plutôt nous intéresser à l’aspect morale présenté par l’auteur. Nous allons donc nous apercevoir que si la morale est parfois respectée, elle est le plus souvent trahie. Nous allons pouvoir nous apercevoir de ceci grâce à un non-respect des lois et surtout, grâce aux mauvaises relations qu’entretiennent les personnages.

Prise de position : Nous pouvons bel et bien voir que l’immoralité fait partie de la société du ghetto présenté dans le roman Le thé au harem d’archi admed

Argument principal : En effet, nous pouvons nous apercevoir d’un non-respect flagrant des lois. Les personnages savent très bien qu’ils ne peuvent pas faire tous les actes qu’ils posent. Ainsi, en commettant des gestes qu’ils ne peuvent pas faire dans une société ayant des lois et des normes, ils font preuve d’immoralité. Cette première preuve d’immoralité se fait de transparaître dans leurs vols puis la seconde par la prostitution de plusieurs demoiselles de la cité.

Argument secondaire : Nous pouvons donc voir la première désobéissance face aux lois morales par le fait que les personnages commettent plusieurs vols pour subvenir à leurs divers besoins. En plus, les personnages sont même rendus habitués de voler des biens à d’autres citoyens. Nous pouvons observer cette habitude dans le langage qu’ils utilisent en plus de leur technique de vol. « On va se faire un métro? (Page 99) » Dans cet extrait, il y a