Le travail
Dévaloriser le travail en premier. Association à a prison, contrainte, sacrifices, efforts et souffrance. Ensuite, il apparaît que certains travaux sont pus plaisants que d'autres. Le travail est indirectement lié au développement de la culture, de la technique et au développement de la société.
Trepalium = travail = instrument de torture. Souffrance profonde et prolongée. N'est pas seulement une douleur ponctuelle. Supporter un ensemble de choses qui réclament un effort constant et exigeant. Tension du corps et de l'esprit. La question de l'émancipation culturelle par le travail Dépendance assez profonde. Capacité à s'assumer, à devenir plus responsable. Effort que l'on fait sur soi-même. S'émancipe.
Comprendre le plus abstraitement possible ce qui se passe dans cette activité en prenant du recul. Cf Hegel. Définition générale du travail à partir d'une réflexion sur ce que les hommes veulent atteindre en travaillant. Satisfaire leurs besoins. Des besoins qui répondent à une nécessite particulière. On ne les satisfait pas de n'importe quelle manière.
Les besoins ne sont pas immédiatement diversifiés. Ils se diversifient au fur et à mesure du développement de l'efficacité du travail. Le travail se spécialise dans le cadre de sociétés de plus en plus complexes. Le travail fait-il souffrir ? Deux séries de facteurs interviennent. Il y a dans la nature des taches. Mais il se pourrait bien que le degré de considération qui est accordé au travail et à la satisfaction des besoin jouent un rôle important dans l'expérience que l'on fait du travail.
Le travail serait une source de souffrance en fonction de la dureté des taches. Il faut tenir compte des facteurs de progrès techniques. Il est possible d'effectuer des travaux lourds et réduisant considérablement la dépense physique de l'homme. Cf l'Esprit des Lois. Les individus travaillent pour rendre un service ou produire un bien qui sera rémunéré indirectement par la société qui les