Le vieux chat et la jeune souris
Intro:
-Jean de La Fontaine Fabuliste du XVIIe siècle
-Livre XII fable5
-Apologue
-Vers 1-22 le récit, vers 22-25 la morale
I) Un dialogue de sourd
Rapport de force déséquilibré =>opposition
-Chat/Souris
-vieux/jeune
-jeunesse/vieillesse (dans la morale)
«Souris de peu d'expérience» solicite la clémence du Chat. Ton respectueux= position d'infèriorité Vouvoiement de la Souris
Chat intransigeant et au vers25 il incarne la vieillesse impitoyable. Le chat tutoie, et utilise un ton péremptoire.
II) L'argumentation de la Souris
-Plédoyé
-1ère étape: considération générale (3ième personne)
-2ième étape: argument d'ordre économique, intérrogationréthorique.
Demande exprimées de manière aténuée
Utilisation d'hyperboles
-3ième étape: argument d'ordre affectifs
-4ième étape: argument pour gagner du temps
III) Réactions du Chat
-Ton cassant => inflexibilité, mépris
-phrases injonctives
-mépris du Chat dans la périphrase «de semblable discours» (=plaidoirie)
-tous les arguments de la Souris sont écartés en une seule phrase V21. La décision du Chat est prise lorsqu'il évoque les sœurs filandières (parques en latin / moires en grec)
IV) Deux attitudes mises en cause
1)Satire de la jeunesse arrogante
- «Crut» V2, «croit» V24. La Souris croit duper le Chat avec son discoure
-Le fabuliste vise les jeunes qui sont arrogants
2) Satire de la vieillesse
-Enfermé dans ses principes: V17
-Le Chat mange par principe la Souris: V18
-La vieillesse ne se remet pas en question: V22
Conclusion
2 attitudes s'affrontent. D'un côté les jeunes arrogants et de l'autre la vieillesse en fermé dans ses