Le vieux qui lisait des romans d'amour
459 mots
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L’appréciation ainsi que le désir de conserver intactes la faune et la flore de l’Amazonie. Dans les deux extraits présentés du roman «Le vieux qui lisait des romans d’amour», le personnage décrit les animaux qu’il rencontre au cours de son histoire comme si elles étaient des bêtes vraiment extraordinaires. Il emplois des termes tels que «le dieu des eaux» ou «corps puissant» en parlant d’un anaconda, il décrit aussi les jaguars d’Amazonie de la sorte. Le «chasseur» dit qu’ils sont des bêtes superbes, il les décrit étend des beautés malgré le fait qu’ils sont des «animaux étranges». Voilà qui démontre explicitement l’amour ou l’appréciation qu’a «Antonio José Bolivar Proaño» envers le coté faunique de «son Amazonie». Cette appréciation se transforme en un sentiment de désir de conserver les merveilles de l’Amazonie que ce soit la faune ou la flore elles sont l’une comme l’autre des aspects très important dans la vie du personnage principale de l’histoire. Il parle des lieux où il a chassée, les décrivant plus ou moins, la cordillère du Condor, le déplacement des animaux vers l’orient, la forêt profonde son retour du fleuve vers El Idilio, tout en restant sur un point positif… Ce qui le préoccupe le plus c’est la façon dont les gens ont de «souiller» la «virginité» de ce qu’il appelle «son Amazonie». La façon honteuse et inadéquate dont les amazoniens, plus précisément les chasseurs ont de traiter les animaux et de faire d’eux des proies qu’ils tuaient pour le plaisir et non pour la survie vont à l’encontre de la façon de penser d’Antonio. Dans la fin d’un des deux extraits, le champ lexical du fusil de l’homme exprime que celui-ci s’avère à être une «bête de métal honnie de toutes créatures», il interprète la façon d’agir des gens telle une «barbarie des hommes», ce qui se révèle à être pour le vieux (Antonio) «une tragédie», c’est-à dire que tout cela est insensé. Tout au long de l’histoire il est de plus en plus évident qu’une forte conscience