Le Vivant

Notion générale.
A travers le vivant nous avons désigné plusieurs espèces. Animale, végétale,…
Plus encore, le Vivant va se définir par une opposition : - expérience de la mort - avec les objets inanimés. : Pinocchio va s’animer et vivre. PB de la confrontation avec objet inanimé et vivant. Question de la limite entre les deux. Est-ce qu’il y a une rupture entre les deux ? Réf à une prothèse qui inanimé sauve des vies. Le vivant désigne l’ensemble des êtres qui ont en eux en vertu de l’organisation particulière de leurs éléments, un principe de croissance lié à des échanges avec leur milieu extérieur et susceptibles de se reproduire. Le vivant est animé. Comment comprendre le vivant ? Comment en établir une connaissance ? Est-ce en le réduisant à une mécanique ? = réduction, défaut de sa connaissance ? Est-ce qu’il ne faut pas renouveler les critères du vivant avec l’évolution, le vitalisme ? = le vivant évolue. Limite de cette dernière démarche, est-ce qu’on n’est pas le résultat d’une solidarité plus que d’une sélection ? Tenants et aboutissant : Quand ça commence ? Quand ça se termine ? Est-ce que je peux manipuler le Vivant ? I] Approche mécaniste du Vivant et ces limites A- La thèse du corps-machine La culture scientifique du 17° siècle souscrit à l’idée qu’il faut réduire les lois universelles de la nature à celle des mouvements matériels : C’est le mécanisme. POSITIF. Cela permet de mettre de la raison dans la nature. Cela reste une REDUCTION. Les scientifiques sont dans la comparaison avec une horloge et le monde, beaucoup de comparaison et de métaphore. Exemple : « Je ne reconnais aucune différences entre les machines que font les artisans et les divers corps que la nature seule compose. » Descartes tiré des Principes de la philosophie. Artères et veines = tuyaux,