Lecture analytique jacques le fataliste , denis diderot
Dans Jacques le fataliste et son maître , Diderot déjoue les codes romanesque et brise l'illusion romanesque alors que le roman commence a plaire et a s'imposer a la fin du XVIII e siècle. Dans dans cet incipit Diderot montre sa suprématie face a son intrigue , des personnages et son histoire.
I) un incipit déroutant et subversif
A) C'est un début in médias res car on commence l'histoire au milieu des choses. Dans cet incipit nous avons pas d'information précise sur les persos et les lieux " ils " est répéter plusieurs fois.
B) on obsere un refus de la narration des la seconde ligne avec l'apparition de plusieurs phrases interrogative : toutes les questions que se pose un lecteur qui commence un roman sont posée d'emblée par le narrateur qui invente un personnage de lecteur. Face a cette série de question imaginé, le narrateur esquive et se montre même insolent en utilisant un ton provocateur " que vous importe " l2-3 le narrateur refuse ouvertement d'y répondre
C) un brouillage des genre ou brouillage générique est mis en place et une certaine confusion est ressentit chez le lecteur , on se demande si c'est un roman ou du théâtre car c'est du dialogue théâtral avec du discours directe.
D le titre présente 2 personnages et une relation maître valet or ici les rapports de force sont inversé car le valet de Jacques occupera une plus grande place au sein de l'histoire alors que le maître restera un peu plus dans l'oublie et restera un personnage abstrait. Lors du dialogue la parole importante revient a Jacques qui éprouve une grande envie de raconter son passé et il le fait de la ligne 16 a 20 au présent de narration C'est Jacques qui lance l'ébauche du roman et le maître sert de faire valoir.
II) la toute puissance du romancier