Lecture analytique Manon Lescault
I) Le coup de foudre
1) Oublis des éléments réalistes motif de la présence → „curiosité“, au début indication sur l'environnement „Amiens“ „promenait avec mon ami“ „quelques femmes“ puis MAIS connecteur adversif, par hasard rencontre avec Manon → le réel laisse place à une focalisation sur Manon (disparition de Tiberge, plus d'indications autres que le ressentis du personnage face à cette femme & conversation)
2) Violence de la métamorphose
„excessivement timide“ „sagesse“ „retenue“ „facile à déconcerter“ „qui n'avais jamais (…) attention“
Puis après la rencontre il devient personnage inverse : „éloquence“ „tendresse infinie“ „tant d'hardiesse et de facilité à m'exprimer“ + phrases longues, subordonnées disproportionnée avec la proposition principale + rythme binaire dans sub *2 moi *2 ni „et“ = axe „transport“ rejeté en fin de phrase → effet ravageur de la passion = hors de soir même
Champ lexical de l'amour : „l'amour me rendait déjà si éclairé“„enflammé“ „amour naissant“ „divinité de l'amour“
„tout d'un coup“ → changement d'une violence instantanée
Beaucoup d'adverbes : „fort“ „si“ „excessivement“ „bien plus“ „tant“
Rapidité, changement complet, tournant dans la vie du perso, et hasard → coup de foudre
II) Rencontre funeste
1) Puceau & femme fatale
Manon = „penchant au plaisir“ (libertinage) tenue de se rendre au couvant par ses