Lecture analytique n1
Lignes 1 à 11 : Description de l’enfant, anecdote
Lignes 12 à 17 : Explication de l’existence d’un monstre, rattachement au projet divin.
Lignes 18 à 25 : Point de vue de l’auteur sur les préjugés.
I) Anecdote de l’enfant monstrueux :
Enfant : généralisation
Père, oncle, tante : liens familiaux normaux.
Forme ordinaire : ordre des choses, ne choque pas.
Comme les autres enfants de son âge : comparaison pour abolir la différence.
Ses cris semblaient… : Euphémisme, caché la véritée.
Naissance : Ce n’est pas une créature qui provient de rien.
Ligne 7 à 8 : Description objective
Ligne 9 à 10 : Interruption de la description, modalisation « si « qui permet aux lecteurs de faire une pause dans la découverte de l’infirmité et de justifier le bras plus court.
Ligne 10 à 11 : reprise de la description, image positive, attendrissante qui permet toujours d’atténuer le choc.
Montaigne nous présente un enfant monstrueux cependant au lieu d’insister sur son objective monstruosité il insiste sur sa part d’humanité. La description est neutre et permet ainsi d’atténuer le choc pour le lecteur. Cet extrait n’a pas de valeur scientifique mais qui fais appelle au bon sens humain. L’auteur nous amène ensuite à considérer le projet de dieu.
II) Le projet divin :
Ligne 10 à 13 : Explication du projet divin : « Immensité », « Infinité », « englobé » : Le projet échappe à la conscience et à la compréhension humaine, il dépasse l’homme en tant qu’individus.
Ligne 14 : Nous frappe d’étonnement
Ligne 15 : Inconnu de l’homme
Présence du pronom personnel «nous », l’auteur s’inclus dans l’humanité.
Présent de vérité générale qui vient nous apporter une règle qui ne souffre pas la contradiction.
Ligne 16 : « ne.. que » , négation restrictive : uniquement seulement.
Dieu à un plan forcément bon pour l’homme. L’affirmation est également