Lecture analytiques l'assomoir d'emile zola
Intro: Publier en 1877, serie des rougons maquart, roman consacré au monde ouvrier.
«Premier roman sur le peuple qui ne mente pas et qui ait l’odeur du peuple»
Il restitue ke comportement, les moeurs, leurs facon de parler, et montre les ravages du a la misere et l’alcoolisme.
Dans cet extrait, Gervaise belle et travailleuse est quittée par son mari et se remari avec Coupeau, un ouvrier. Coupeau tombe du toit et sa convalescence est longue.
Nous etudierons tout d’abord l’ennivrement progressive de G, puis en seconde partie la représentation naturaliste des effets de l’alcool.
I- L’ennivrement progressif de Gervaise.
A/ Elle ne veut plus lutter Sa vie n’est que misere, l’alcool n’est que le seul plaisir auquel elle peut avoir acces. On peut comprendre qu’elle ne veut plus lutter contre tt ce qu’il se passe dans sa vie. Jeu de mot : «dans le nettoyage de la monnaie» l.7
B/ Manifestation physique et psycho de l’alcool
Physique: Sensation de chaleur, transpiration «corsage collé a son dos» l.10 Sensation de bien etre, d’appaisement «envahit d’un bien etre» l.10 Engourdissement de son corps «qui lui engourdissait les membres» l.10 Respiration plus coute, souffle lent «tandis qu’elle respirait tres court, sans ettoufement» l.17 Fatigue ressentie, endormissement «ses paupieres se fermaient un peu» l.17 et aussi «goutant la jouissance du lent sommeil dont elle etait prise» l.18 L’odorat est brouillé «l’odeur ne la genait plus, au contraire, elle avait des chatouilles ds le nez, elle trouvait que ca sentait bon.» l.16 qui prouve qu’une odeur désagreable avant, lui parait sentir bon. Le champs de vision est brouillé aussi «les yeux perdus» l.11 ou encore «elle ne vit plus que coupeau et ses camarades»
Psycho:
Euphorie de Gervaise du a l’alcool «elle riait a l’assomoir» l.13 ou encore «Elle rigolait toute seule» cette phrase nous montre qu’elle rit toute seul et sans raison. Bien