L'extrait de texte ici présenté, est tiré des « Nouveaux essais sur l'entendement humain » de Leibniz. A la lecture de celui-ci ont découvre l'opinion de l'auteur sur la question de l'importance des sens dans la connaissance. Ces quelques phrases relatent l'insuffisance de nos sens et de nos perceptions, à travers lesquels nous ne pouvons atteindre la vérité. Leibniz critique la méthode Empiriste n'apportant que des exemples (cas précis, particulier, d'une règle général) singuliers et non général (la grandes majorité des cas). Les sens ne seraient donc pas capable de traiter la vérité nécessaire. L'extrait ce divise en trois parties bien distincts. Le texte est divisé en trois parties distincts. Dans la première partie (« Les sens... les donner toutes »), Leibniz nous fait remarquer que les sens ne servent qu'à montrer des faits ou des cas particulières. Leurs applications ce limite à des vérités individuelles (un cas précis) et non à des principes universelles (la totalité des cas). Les sens sont pour l'auteur des conditions nécessaires, mais pas suffisantes pour acquérir pleinement les connaissances. Cette partie est une critique ouverte de l'empirisme. Leibniz s'oppose fermement à l'idée que ce fait John Locke du rapport entre les sens et la connaissance. Pour Leibniz, la vérité est plus général que celle de l'empirisme. Le raisonnement scientifique est obligatoire. La seconde partie (« puisque les sens... arrivera de même ») cherche à montrer qu'un cas démontré par l'usage des sens ne ce suffit pas à lui même. Il s'accorde à dire que les sens ne peuvent prouver les vérités mathématiques. Les exemples, aussi nombreux qu'ils soient, ne peuvent apporter de preuves. Leibniz ne conçoit pas le fait que le type de vérités que les empiristes expose soit probable et non certain. Ce baser sur l'expérience implique la possibilité de l'erreur. La troisième partie (« D’où il paraît que... d'y penser ») dévoile l'idée original que ce fait Leibniz de la place