Les 30 piteuses au crible des théories
Introduction :
Reprise de concepts déjà présents mais de nouveaux concepts apparaissent également : école de la régulation.
On peut distinguer 3 périodes :
1) Opposition entre keynésiens et marxistes : années 1970 : optique keynésienne qui parle d’une crise de la D, alors que pour les marxistes c’est d’abord une crise de l’offre.
2) Apparition de l’école de la régulation : à la confluence du marxisme et du keynésianisme, mais aussi d’autres concepts : problème + de l’O que de la D.
3) 1990-2000 : éclatement des interprétations de la crise : retour des libéraux, et de la théorie du surendettement (Fisher) : alternance entre surendettement et désendettement.
Puis interprétation psychologique.
A- L’opposition initiale entre keynésiens et marxistes
1- L’interprétation keynésienne
Crise de la D, processus de thésaurisation face aux difficultés éco, et laminage des salaires et de baisse des prestations sociales -> D en berne d’où crise.
Arguments : le premier choc pétrolier va structurellement augmenter les recettes de l’OPEP donc déplacer la VA mondiale vers les pays exportateurs de pétrole qui sont peu peuplés, assez riches (rente du pétrole) donc taux d’épargne mondial très important. S augmente donc les anticipations des entreprises deviennent pessimistes, elles investissent peu.
1975-1979 : Reprise éco, liée à une pol expansionniste : Etats interviennent pour contrer ce déplacement de la VA.
Deuxième choc pétrolier : même raisonnement : déplacement des ressources mondiales. Qlq pays (USA) vont provoquer des relances keynésiennes qui leur permettront de sortir de la crise.
Au niveau macro d’ensemble, l’approche keynésienne paraît être adaptée aux premières années de la crise.
Limites de l’approche keynésienne :
Les pol de relance ont échoué ds certains cas car confronté à la contrainte ext
Peut-on dire que le tx d’épargne a réellement augmenté ?
Ds l’ens, le pvr