Péllé-Hyvon
Loïc
Paragraphe de commentaire Un procès injuste Dans cette fable, une scène de procès moyen-âgeux est clairement représenter tout au long du texte. Car en effet des rôles types sont attribués à chaque personages : accusés, seigneur, cours. Mais ici, les personnages sont corompus et le procès deviens injuste dès le début. Ici, les personages sont des animaux (comme à l'habitude de Jean de La Fontaine) mais représente indirectement les méthodes des humains au Moyen-Âge. Tout au long du texte il y a donc une personification des animaux, même sur les crimes de l'âne : "J'ai souvenance [...] puisqu'il faut parler net." (lignes 49-54) qui représente en fait le vol de nourriture chez une tierce personne. Mais l'injustice provient du fait que seul l'âne est condamné et juger coupable de ses "crimes". En effet, les autres accusés doivent aussi avouer leur délits, qui sont tous aussi grâve les un que les autres. Le premier a ce dénoncer est le Lion (ici personnifier comme Roi) qui a "dévoré force moutons" sans réel raisons. Mais le deuxième à parler est le renard (qui pourrait faire office d'avocat), et il décide, au lieu de parler de ses pêchés, de flatter et de protéger le Roi contre ses propres propos ("Sire, dit le Renard[...] chimérique empire", lignes 34-42). Il couvre ainsi d'éloge le Lion-Roi et la "cour" et forcé d'approuver le méssage du renard pour ne pas offencer le seigneur des lieus. En agisant ainsi le renard évite de parler de ses crimes, quel qu'ils soient, et met le roi de son coté. Après ceci, un "ordre" inconsient se met en place : les animaux puissants en premier ("Du Tigre ni de l'Ours ni des autres puissances", ligne 45) et les moin puissante en dernière ("jusqu'aux simples mâtins", ligne 47). Tous disent être de "petits saints" et se protège du "célèste courroux". Mais l'Âne est plus niais et passe donc en dernier, et avoue ses crimes sans éloges ni flatteries. C'est à cause du fait qu'il doit y avoir un coupable à