les Arts libéraux, la lettre G et l’étoile flamboyante Nous sommes au mois d’août, dans l’avion qui nous emmène à Venise, cité oh combien symbolique pour les maçons à travers des personnages aussi illustres que Casanova ou bien Corto Maltese. Je m’interroge encore sur la manière d’entamer mon travail sur les sept Arts libéraux. Mais j’en suis sûr, l’inspiration viendra bientôt, en tout cas, c’est ce que je me suis dit il y a deux mois d’ici. Dominique est rapidement tombée amoureuse de cette cité lacustre et moi-même, je me suis laissé séduire par son charme subtil qui réjouit les sens et qui nous permet de nous projeter facilement dans un passé séculaire où sa grandeur n’avait d’égale que sa magnificence. Nous ne resterons que trois jours et devons donc gérer un agenda serré au cours duquel nous devons assister à un mariage, à un repas de noces et visiter les endroits inoubliables qui s’offrent à nous par dizaines. Tiens, parlons-en de ce mariage, célébré au Palazzo Cavalli dans une salle qui ferait pâlir d’envie notre frère, bourgmestre de Bruxelles. Nous n’étions que quelques-uns à y assister mais les paroles prononcées à cette occasion par l’adjoint au maire et la traductrice commençaient déjà à résonner dans ma tête et me prévenir que l’heure approchait où le déclic allait enfin se réaliser. Effectivement, cette heure ne fut pas lointaine. Après que notre petit groupe de 7 personnes (et oui, cela ne s’invente pas) ait déambulé dans les ruelles, les fameuses « calle » vénitiennes, nous arrivâmes sur la Place saint-Marc. Cette place mondialement connue, de par sa géométrie en forme d’équerre, nous invita déjà à la réflexion. Mais ce n’est que vue du Campanile situé à l’angle intérieur de l’équerre que cette superbe place offre sa géométrie et ses proportions aux yeux des visiteurs.

Enfin, nous entrâmes au Florian, café mythique où tant de gens illustres ont pris, qui un chocolat, qui un café, qui un thé. Le Florian a ceci de particulier qu’il est divisé en