les caractéristiques des planètes et du réchauffement
Poste 1
Dans ce poste, on un modèle du système solaire analogique. Il est constitué d’un tube de PVC, troué à intervalles égaux à ceux entre les planètes du système solaire. Il y a une lampe symbolisant le Soleil, et une sonde pour mesurer l’intensité lumineuse, connectée à un ordinateur pour interpréter les données et résultats.
On a successivement mesuré l’intensité lumineuse dans chacun des trous. On obtient des résultats qui nous disent que plus on s’éloigne de la source lumineuse (la lampe), l’intensité lumineuse diminue. On en conclut que les planètes les plus éloignées du soleil reçoivent beaucoup moins de lumière que celles les plus proches ;
Poste 2
On a un dispositif recréant l’effet de serre. On a deux cloches et trois thermomètres. Deux de ces thermomètres sont sous deux cloches, une a fond noir, une a fond blanc. Ces deux cloches sont éclairées par deux lampes.
Les résultats trouvés ne sont pas ceux attendus, en effet, on ne trouve pas de différence entre les trois thermomètres. Les résultats attendus sont que la cloche a fond noir est plus chaude que celle a fond blanc, qui est plus chaude que l’air libre. Cela voudrait dire que les planètes ayant une atmosphère serait plus chaude que celle n’en possédant pas, et que la couleur noir absorbe la lumière alors que la couleur blanche la rejette.
Poste 4
On a trois cloches, une remplie de co2, une de vapeur d’eau, et une d’air normal. On a un thermomètre dans chacune de ces cloches et une lampe les éclairant. On mesure la température de chacune des cloches.
Les résultats obtenus ne sont pas ceux attendus ; on trouve presque aucune différence de température, et la cloche contenant juste de l’air est un peu plus chaude que les autres. On aurait du trouver que la cloche contenant du co2 était la plus chaude, avant celle de vapeur d’eau puis celle d’air simple. On en conclut que la vapeur d’eau et le co2 son des gaz à effet de serre :, ils transforment les rayons