Les chaises de Ionesco

Je termine ces descriptions par une pièce d' Eugène Ionesco " Les chaises", cela fera une transition jusqu'a mon objet d'étude qui suit et qui traite du théatre de l'absurde.

La mise en scène de Luc Bondy des chaises de Ionesco met l'accent sur le théatre de l'absurde.
Immediatement on remarque le coté tragi- comique de ce théatre , car dans l'absurde c'est le désaroie qui fait rire.
L'usure et la vieilleisse des deux corps qui occupe la scène sont les principaux éléments comique de cette pièce.
Effectivement on remarque que deux grand thèmes opposés s'affrontent dans la pièce, le monde de l'enfance , et le paradis perdu des personnages , ces deux thèmes se rejoignent néanmoins en une grande ligne représentée par le jeu des acteurs qui est la régression , le paradis perdu associé au monde de l'enfant amène la régression.
La mise en scène epurée qui laisse d'autant plus de place aux jeux des protagonistes nous emmènent dans un univers fantasmagorique, plus on avance dans la pièce plus les personnages s'enfoncent dans leurs désarois leurs malheurs , ils ne cessent de s'enfoncer de plonger dans leurs propres senilités , la flaque d'eau au centre de a scène représente d'ailleurs ce stade ultime de souffrance et de souvenir , ils l'évite d'ailleurs et les moment où ils entrent dans cette flaque sont les moments où leurs régressions infantiles se mèlent a leurs sénilités au point le plus haut.
Le tragique devient alors comique car il met le doigt sur une douloureuse réalité , qui fait toujours rire c'est le langage et le comportement qui traduise cette pert de repère hilarante dans un espace dénué de sens , où la vieillesse prend toute sa place.
La femme a un role et une image d'autant plus tragique " maintenant c'est moi ta mère" dit elle a son mari qui se perd dans un profonde régression , celui ci perd ses repère , l'espace scenique represente d'ailleurs cette êrd de repères tout est sombre le temps a l'air de defilé sans que