Comment les clandestins sont ils perçus par les français ?

Depuis près d’un an, dans ce pays, on pratique la politique du chiffre. Le gouvernement voulait expulser 26 000 personnes en 2008. Pour les hommes politiques au pouvoir, la réalisation de cet objectif a une signification politique concrète : pour aboutir aux résultats, des pressions ont été exercées à tous les niveaux, sur la police qui doit trouver les clandestins, sur les centres de rétention administrative (CRA) qui voient leurs effectifs augmenter de façon démesurée, sur l’ensemble des Français qui en majorité ne sont pas favorable à cette politique.
Les hommes politiques ne tiennent pas en compte que le fait de mobiliser tant d’énergies contre les sans-papiers laisse au dépourvu bien d’autres secteurs de la justice .Les expulsions coûtent cher (environ 20 000 euros pour une expulsion vers l’Afrique) et on finit par expulser ceux qui coûtent moins cher, c’est-à-dire ceux qui proviennent des frontières orientales de l’UE.
Le gouvernement francais traite les clandestins commes une "crasse" présente sur leur beau monde, qu'il doit à tout pris empêcher de subsister et pour çela, il les renvoie de là où ils viennent. Les hommes politiques français ne font preuve d'aucune honce d'humanité envers les clandestins présents sur leur territoire.

Le peuple français, bien que sous un gouvernement ne faisant rien pour aider les clandestins, ne partage pas vraiment les idées de leurs hommes politiques sur ce point, la plupart préfererait qu'il soit accordé une carte de séjour aux clandestins, ou même encore, que l'on leur laisse le droit de vivre sur le territoire français commes des personnes y vivant depuis la naissance. Mais malgré cela, une partie de la population défend les idées du gouvernement en place, d'autre, profite de l'illégalité de séjour des clandestins pour les faires passer dans le pays, pour ensuite les faire travailler "au noir", ce qui leur permet de ne pas leurs payer les assurances