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Les conceptions philosophiques de l’être humain me permettent-elles de penser l’existence de Dieu?

753 mots 4 pages
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EXEMPLE
a) Conceptualisation :
-Introduire la question : Le cours de philo 2 nous a permis d’observer la nature humaine sous toutes ses coutures. De tous les questionnements soulevés par les divers auteurs étudiés en classe, une question à laquelle je ne réussis pas à répondre revient sans cesse, peu importe les théories analysées. Les conceptions philosophiques de l’être humain me permettent-elles de penser l’existence de Dieu?
-Situer le contexte : Le problème a toujours existé. Déjà les premières sociétés et tribus en faisaient mention dans leurs histoires populaires. Les dieux sont partie intégrante du discours du récit, on les retrouve dans tous les mythes et dans toutes les légendes de l’Antiquité. Au Moyen-Âge, personne ne remettait en doute l’existence divine. À la Renaissance, l’être humain s’ouvre à une première liberté de conscience, et certains intellectuels questionnent la religion, cependant ils sont peu nombreux. Les Temps Modernes, avec la montée de la science, des techniques et des arts, amènent quant à eux une nouvelle liberté dans la pensée, amplifiée par les Lumières. Ensuite, pendant l’ère industrielle, des auteurs comme Freud, Marx ou encore Nietzsche conduisent l’humanité vers une nécessité de repenser le sacré et la spiritualité. Et qu’en est-il de nos jours? La société actuelle se fonde de plus en plus sur la science et pourtant, le nombre des croyants demeure encore supérieur aux incroyants. Le problème de l’existence de Dieu est ainsi toujours actuel.
-Définir les concepts : conceptions philosophiques, penser, être humain, existence, Dieu
-Présenter les sources : Dans ce texte, j’utiliserai les arguments de Descartes, Pascal, Gorgias, St-Augustin et Kierkegaard. Soeren Kierkegaard est un philosophe danois du début du 19e siècle; il est le fondateur de l’existentialisme, et il nous offre une étude poussée de l’homme en lien avec la foi...,
-Formuler d’autres questions philosophiques : Peut-on croire sans voir? L’intelligence humaine

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