Les confessions de jean-jacques rousseau
Dans son œuvre, Les confessions, Rousseau raconte sa vie, l’amour vénéré de son père, Isaac pour sa mère. Rousseau nous apprend que sa pensée a été orientée par l’histoire de l’église et de l’empire par le Sueur, par le discours de Bossuet sur l’histoire universelle, par les hommes illustres de Plutarque, l’histoire de Venise par Nani, par les métamorphoses d’Ovide, La Bruyère, Les mondes de Fontenelle, les dialogues des morts. Rousseau tient son patriotisme de son père. De ces confessions, nous retenons que Rousseau n’aimait pas faire le mal. Il tient cette qualité de la douceur de son entourage. La perte d’une chanson qui lui était chère l’a conduit à être en contradiction avec lui-même. Cette éducation s’est interrompue du fait de l’expatriment de son père suite à un démêlé avec un capitaine du nom de G. Rousseau a reçu une éducation chaste et modeste. Il avait une idée odieuse et dégoutante de l’union entre les sexes. Il était timide auprès des femmes. Il voulait être ministre car il trouvait bien de prêcher. M.Ducommum a changé l’éducation de Rousseau de par sa violence. Cette rencontre avec ce Monsieur a développé en lui la convoitise et l’impuissance.
À travers sa collaboration avec M. Verrat dans le vol des asperges, Rousseau montre comment le fort coupable se sauve au dépend du faible innocent. Selon lui, son horreur pour le vol d’argent et ce qui en découle, lui venait en grande partie de l’éducation. Rousseau était craintif et avait honte. Rousseau aime les choses plus que l’argent parce qu’il ya toujours un intermédiaire entre l’argent et la possession tandis qu’entre l’argent et la jouissance, il n’y a n’en point.
Rousseau n’aimait pas le catholicisme à cause de l’idolâtrie et de la mauvaise réputation du clergé qui y régnait. Selon lui, les Protestants sont mieux instruits que les catholiques parce que la doctrine des premiers est fondée sur la discussion tandis que celle des second repose sur la