Les conflits armés dans l'empire occidental romain
Intro : « impérialisme romain » : une image guerrière de Rome et une sujétion des peuples par la force. * Or l’idéologie romaine favorise la paix : prospérité. * Toutefois, la puissance de son armée : permet d’imposer son autorité sur un empire immense mais favorisant toujours les « traités » avec des peuples amis. * Les analyses sur tous les impérialismes privilégient les liens et les notions d’interconnexion entre la métropole et ses territoires nuançant l’imposition brutale d’un ordre à toute une sté. * L’analyse porte sur toutes les formes de conflits et de résistances armées dans l’empire romain d’occident ; toutefois, impossible d’intégrer tous les conflits : trop nombreux et les sources lacunaires. * La période envisagée : étudier les mouvements sur le temps long : analyse les conflits ayant marqué les contemporains non dans leur déroulement mais dans les motivations essai de typologie relative aux motivations des protagonistes et périodisation des types de crises par étude comparative entres les provinces. * Ces éléments questionnent les notions souvent controversées de romanisation et de romanité. Ces prises d’armes sont-elles un rejet du monde romain, ont-elles mis en péril la domination de Rome ?
I – LES RESISTANCES A LA CONQUETE * Toutes les phases de conquête ont engendrées des résistances chez les peuples conquis, * étudiées : celles d’ampleur qui ont demandé un effort à Rome et sur lesquelles les auteurs anciens se sont attardés. 1. Les 1ères révoltes : Sicile, Sardaigne -227-170
- hors chrono mais brièvement observer que leurs cultures et les implantations étrangères font que leur conquêtes s’effectuent dans une guerre entre 2 grandes puissances : Rome et Carthage.
- Sicile : résistance limitée ; on assiste plutôt à une collaboration des élites locales avec des cités fédérées. Siège de Syracuse par Marcellus en -215 met fin