« Les convictions sont des ennemis de la vérité plus dangereux que les mensonges. » Friedrich Nietzsche

Année 1933. Hitler prend le pouvoir. C’est un dictateur allemand impitoyable. Pour lui, toute personne qui ne rentre pas dans le moule de la race « aryenne » est un être inférieur. Ses convictions ont eu des conséquences désastreuses : des milliers d’innocents tués, un nombre important de familles déchirées, obligées de vivre dans la peur constante d’être les prochains à être éliminés. Ce dictateur allemand réussit même à déclencher une deuxième guerre mondiale. Et tout ça se produit à cause d’Adolf Hitler et de ses convictions erronées. C’est surtout avec ce type d’événement que la phrase de Friedrich Nietzsche « Les convictions sont des ennemi de la vérité plus dangereux que les mensonges.» prend vraiment un sens important. Bien sûr, ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre, et toutes les convictions n’engendrent pas des conséquences aussi terribles. Quant aux mensonges, leurs effets peuvent être tout aussi néfastes. Nous allons donc tenter d’expliquer en quoi les mensonges seraient des antagonistes plus dangereux pour la vérité que les certitudes en prenant exemples sur l’histoire et la vie quotidienne. Ensuite, nous essayerons de déterminer si, au contraire, ce ne serait pas plutôt les convictions qui incarneraient des rivaux plus dangereux pour ce qui est vrai que les falsifications, en se basant également sur des faits du passés et la vie courante.
Tout d’abord, il est importent de préciser que les mensonges font partie de notre vie quotidienne et que, par leur simple définition, ils sont déjà contraire à la vérité, donc des ennemis. Certains mensonges sont vraiment dangereux, surtout s’ils viennent de sources que nous croyons crédible, comme par exemple les médias. Ceux-ci sont d’autant plus dangereux que plus d’un milliards de personnes les suivent régulièrement. Le problème est qu’avec les moyens audiovisuels d’aujourd’hui, il est facile de truqué