Comme a pu dire Louis 15 en 1766: « Nous ne tenons notre couronne que de dieu. Le droit de faire des lois par lesquels nos sujets doivent être conduits et gouvernés nous appartient a nous seul sans dépendance et sans partage ». On peut y voir déjà ici, une volonté de ne pas partager le pouvoir, les rois auront toujours tendance a concentrer les 3 pouvoirs régaliens(exécutif, législatif, judiciaire) entre leurs mains. On peut comprendre alors que le Tiers-État ne s'accorde pas avec les rois a l'époque, ne disposant d'aucun privilèges comparés au Clergé et a la noblesse alors même qu'ils formaient 98% d'une population d'environ 20 millions d'habitants on peut sans aucun doute imaginer que cette société d'Ancien Régime ne tarderais pas a sauté. C'est notamment grâce a l'influence des philosophes des lumières que va découler divers doctrines pouvant inspirer des réformes, on ne voit pas les droits des individus sans qu'ils appartiennent a une communauté, ils n'ont pas de droits individuel d'où une justice très inégalitaire. L'exemple de ces philosophes est principalement le modèle anglais de la séparation des pouvoirs, selon eux l'absolutisme français engendre la tyrannie. Les rois vont tenter des réformes peut concluante et qui ne s'attaque pas au cœur du problème du rejet du Tiers-état, Louis 16 ne sera jamais vraiment attiré par la politique française et sera beaucoup influencé par son entourage a la cour de Versailles. Suite a tout échec Louis 16 convoque le 8 aout 1788, les états généraux pour le moi de Mai avec un élément de modernité: la démocratie. On a un instrument important qui est mis en place: les cahiers de doléance que doivent écrire chaque communauté, paroisse, congrégation religieuse sur ces désirs, ses souhaits, ses critiques a l'égard de tout les domaines, ensuite 3 cahiers de synthèse des 3 ordres sont rendus a Louis 16 avec les revendications principalement politiques, on voit que les 3 ordres demandent l'abolition des privilèges mais seulement le