de la Déclaration figurent l'égalité > article premier, la liberté > consistant à >, la propriété et enfin, la résistance à l'oppression, au cas où les gouvernants feraient un mauvais usage de la liberté qui leur a été confiée. Parmi les droits du citoyen, découlant également de l'état de nature mais ne trouvant à s'exercer qu'au sein d'une structure sociale donnée, figurent les droits politiques, dont celui de parisiens envahissent, sans succès, le palais royal des Tuileries le 20 juin. Le 25 juillet par le Manifeste du duc de Brunswick, les Austro-prussiens menacent Paris de représailles impitoyables si on touche au roi. Pour réponse le 10 août 1792, les Parisiens attaquent de nouveau les Tuileries et obtiennent de l'Assemblée qu'elle emprisonne le roi.
Le 21 septembre 1792, lors de sa première séance, la Convention proclame la République. Renforcée par des volontaires, l'armée française bat les Austro-prussiens à Valmy le 20 septembre.
Après avoir été jugé et condamné pour trahison envers la République, le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI est guillotiné.
Cependant la repris de la guerre au printemps 1793 fut dramatique. La bourgeoisie républicaine se divise quant à la mesure à prendre pour sauver la révolution.
De l'été 1793 à l'été 1794, la convention dirigée par les Montagnards va prendre des mesures énergiques, c'est ce qu'on appelle la Terreur. Le gouvernement est centralisé sous la direction du Comité de Salut Public.
Vainqueurs, les Montagnards se divisent. Les Hébertistes veulent continuer la déchristianisation et renforcer les mesures économiques et sociales de la Terreur. A l'opposé les Dantonistes veulent arrêter la Terreur et rechercher la paix avec les rois étrangers. Les Robespierriste veulent créer un homme nouveau et vertueux. Les Hébertistes sont exécutés le 24 mars, les Dantonistes le 5 avril 1794. Robespierre et ses amis restent les seuls dirigeants. Mais las de la Terreur et craignant pour leur vie une grande partie des députés de la