Les femmes : Charles Baudelaire
Charles Baudelaire est un poète français né le 9 avril à Paris et est mort le 31 aout 1867. Il est tourné vers le symbolisme. C’est l’un des plus grands poètes du 19ème siècle, le grand créateur du poème en prose.
Le symbolisme est mouvement littéraire et artistique qui s'efforce de fonder l'art sur une vision non naturaliste du monde et tente de "montrer" l'essence spirituelle des choses.
Le Spleen de Paris est un recueil de textes en prose auquel Baudelaire consacra les dernières années de sa vie. Il est composé de 50 poèmes. Il n’a été publié que deux ans après sa mort. Le sous-titre de l’œuvre, Petits Poèmes en Prose, amorce (amorcer = initier) l’explication de cette confrontation entre prose et poésie. Le mélange des genres de s’arrête pas la car on retrouve dans ce recueil des textes se rapprochant d’avantage d’une critique, d’un essai ou d’une nouvelle.
La poésie en prose est tout ce qui se dit, et tout ce qui s’écrit sans être soumis aux lois de la rime et du rythme propre à la poésie.
Ses premières publications furent celle d’une critique d’art, Les salons de 1845 – 1846 et d’un romancier, La fanfarlo.
Tout au long de ce recueil, nous allons voir que Charles Baudelaire tissera des liens différents. Cependant nous allons nous pencher sur un lien en particulier, celui de la femme.
Baudelaire à travers ces recueils, nous montre que la femme a une grande importance pour lui, il dit même dans le poème : Portrait des femmes que le sujet des femmes est devenu quelque chose de banal : « l’un d’eux jeta la causerie sur le sujet des femmes […] ne méprise pas les conversations banales ».
Les femmes peuvent être bien connues du poète comme dans L’invitation au voyage et Un hémisphère dans une chevelure, ou simplement être regardées comme dans Les veuves, La belle Dorothée et Mademoiselle Bistouri, elles peuvent enfin être simplement évoquées par d’autres que Baudelaire dans Le Galland