1) SUR QUEL CONCEPT FONDAMENTALE, LE PARTAGE DE TRAVAIL DOIT-IL ÊTRE FONDE ? ET POURQUOI ?

Depuis cinquante ans, nous produisons plus en moins de temps de teps. Des années durant, les progrès de la productivité ont été récompensées par des réductions d'horaires.

La notion de partage peut se réaliser par la réduction du temps de travail à 35 heures par semaine.

Le partage du travail doit être fondé sur la solidarité. Moins d'heures de travail pour chacun mais du travail pour tous.

2) L'expansion du travail professionnel féminin est un phénomène de tendance qui dure depuis 50 ans dans tous les pays développés.

Les raisons de ce phénomène sont diverses :

L'industrialisation a transformé la vie domestique de la femme permettent un gain de temps dans le travail ménager.

Perdant de sa valorisation sociale, la femme a cherché à acquérir un autre pouvoir par son activité professionnelle, d'autant que les progrès de la médecine la libéraient de contraintes jusqu'alors inhérentes à la condition féminine (grossesses maîtrisées, etc.).

L'acquisition d'un niveau de formation de plus en plus élevé les a amenées à désirer exploiter leur potentialité en dehors du milieu familial.

Elles ont trouvé un épanouissement et ne se montrent pas prêtes à renoncer à leur activité. Grace à leur travail, elles trouvent un lieu privilégié de rencontre mais aussi d'affirmation d’une personne civique.

Le statut de femme active est aujourd'hui ancré dans les mentalités. Elle est amenée à répondre à des nouvelles exigences, activité, participation, émancipation, indépendance.
Si elles s’attardent au foyer ne va-t-elles se sentir comme un fardeau pour son mari et la société ?
Le rôle de mère au foyer et de femme active sont souvent deux choses difficiles à concilier, donc la femme peut être amenée à quitter son emploi pour se consacrer à sa famille (sentiment de culpabilité).
Le problème soulevé par l’opposition entre le travail contraint et le travail libre se