Les fils de l'homme est un récit édifiant d'une société au bord de l'extinction.

Ce n est pas qu’une science-fiction typique dystopique.
En effet, dans les fils de l'homme comme tous dans tous les récits dystopique on décrit les mondes d'une manière futuriste et ils écartent des caractéristiques de la société contemporaine. Mais ce film est, cependant, une version plus sombre de notre société contemporaine. Cette approche permet au public de se rapporter de ses propres circonstances et donc, se sentir plus proche l’œuvre cinématographique.

Tout d'abord l'infertilité est pas un concept nouveau pour les écrivains de science-fiction. En fait, il y a eu de nombreux ouvrages sur la surpopulation ainsi que l’œuvre John Brunner Le Troupeau aveugle. Dans Les fils de l'homme, Cuarón dépeint un monde d'effacement génétique imminent. L'humanité n'a pas vu un nouveau né depuis 18 ans et dans le même temps, pleure la mort récente de la plus jeune personne sur Terre. Les perspective de l'homme de continuité génétique sont totalement absentes une perspective qui "est la motivation qui sous-entend le sexe , l'amour, et en effet tout dans le monde organique ". L'infertilité, donc, ne signifie pas seulement l'absence des enfants, mais, pire encore, l'absence d'espoir. Quand nous perdons un but, nous n'avons plus rien pour lequel nous battre ni pour lequel lutter. Quand Theo voit la maison de fantaisie de son cousin Nigel, il demande d'un air absent: "Dans quelques années, il n'y aura pas une personne triste à regarder tout cela. Qu'est-ce qui vous pousse?" Nigel puis répond confortablement:" je ne pense pas à ce sujet." Cette courte conversation résume adéquatement l'apathie et l'ignorance que le sentiment de désespoir s'infiltre dangereusement dans la mentalité des gens.

Ensuite, dans ce film il y a des figures traditionnelles de l'autorité de l'Etat - des gardes de patrouille frontalière a des fonctionnaires de l'ambassade "il ne faut pas leur faire confiance". Le