Les fleurs du mal - tableaux parisiens
Dans ce poème Baudelaire rêve à la fenêtre. Il transforme le monde urbain en un nouveau monde magique. « enchantement »; « féeriques ».
Les termes utilisés pour la ville sont embellis : Les « clochers » deviennent musicaux avec « hymnes »; « l'atelier » « chante et bavarde »; « les tuyaux, les clochers » deviennent « ces mâts de la cité ».
LE SOLEIL
Le poème est composé de trois strophes de 8, 8 et 4 alexandrins respectivement. Les rimes sont suivies.
Dans ce poème Baudelaire compare les poèmes au soleil. Il nous décrit le chemin pour écrire un poème « Je vais m’exercer seul à ma fantasque escrime » cette activité est comparée à un sport, « Flairant dans tous les coins les hasards de la rime ».
Les mots sont matérialisés « Trébuchant sur les mots », « Heurtant parfois des vers ».
A UNE MENDIANTE ROUSSE Le poème est composé de 14 quatrains soit 56 vers. Dans chaque quatrain, il y a 3 heptasyllabes puis un tétrasyllabe. Trois vers impairs, un vers pair.
Dans ce poème Baudelaire s'adresse à une jeune fille dont il fait l'éloge. Il associe sa pauvreté avec la beauté. Mais ce phantasme est brisé par un retour à la réalité « Cependant » puis « Va donc ».
LE CYGNE
Le poème est composé de deux parties comportant respectivement 7 et 6 quatrains d'alexandrins. Les rimes sont croisées et respectent l'alternance entre rimes masculines et rimes féminines.
Dans ce poème dédié à Victor Hugo, Baudelaire allégorise les exilés en utilisant des icônes comme Andromaque, un cygne, une négresse… qui fini par une généralisation « A quiconque ». Il est aussi possible de constater la mélancolie du poète face au changement de Paris.
LES SEPTS VIELLARDS
Le poème est composé de treize strophes d'alexandrins. Les rimes sont alternées et elles respectent